Antoine De Caunes n’a pas peur de faire VIEUX
Portrait d’Antoine De Caunes dans Crooner And Friends, artiste multitalent, animateur, comédien, auteur, metteur en scène et maintenant rédacteur pour le magazine VIEUX, désormais dans les kiosques
Animateur, acteur, réalisateur, écrivain… Antoine de Caunes incarne depuis plus de quatre décennies un esprit libre et impertinent dans le paysage culturel français. Né le 1ᵉʳ décembre 1953 à Paris, fils du journaliste Georges de Caunes et de la speakerine Jacqueline Joubert, il s’est imposé dès la fin des années 1970 avec des émissions musicales cultes comme Chorus ou Les Enfants du rock, avant de marquer l’histoire de Canal+ aux côtés de Philippe Gildas dans Nulle part ailleurs.
Complice de José Garcia, figure des César qu’il a présentés à dix reprises, il a mené en parallèle une carrière au cinéma, devant et derrière la caméra. Aujourd’hui, il continue de surprendre et de séduire, notamment avec son magazine « Vieux », qui aborde le temps qui passe avec humour, tendresse et franc-parler.
Mais pourquoi aimer Antoine de Caunes ? Un esprit, un tempérament, un charme et une indéniable Crooner attitude, même il, elle est teintée de Rock : de Bob Dylan à Bruce Springsteen, son idole, l’icône télévisuelle, le réalisateur, l’auteur est bien obligé de constater que derrière chaque rocker ou prince de la pop, il y a un Crooner en herbe qui se cache, pour soudainement sortir sa tête à ressort de la boite magique.
De Caunes, Antoine, à la Crooner attitude : toujours attirant à plus de 70 printemps, il trimbale avec joie et sans efforts, une éternelle cinquantaine : le rêve de tous les quinquas et quant à la gent féminine : merci d’arrêter de dire qu’Antoine est mignon, ça agace les maris légitimes.
Le plus extraordinaire, c’est qu’avec Antoine de Caunes, on peut plaisanter sur le mot “Vieux” car Decaunes à l’humour anglais et la faconde pour défendre ce nouveau magazine iconoclaste intitulé “Vieux” qui paraît trimestriellement avec succès depuis décembre 2024
et c’est bien là un de nos principaux points d’achoppement avec Antoine De Caunes : Il ne faut pas avoir peu de faire vieux et d’assumer son âge. Une occasion de rendre hommage également à ses parents : Georges de Caunes et Jacqueline Joubert, un couple iconoclaste qui aura connu les débuts de la télévision française.
Des Rhumatismes naissants, des problèmes de prostate : demandez donc à Mick Jagger, à Rod Stewart et toute la bande du Rock’N’Roll s’ils ont été exemptés ! Alors Plutôt en rire, en achetant le magazine plébiscité par Antoine de Caunes !
Et puis, rappeler le meilleur du passé, n’est-ce pas là, la véritable fonction du vieux et son expérience : mais quel est l’idiot qui a décidé un jour que les plus de cinquante ans ne valaient plus rien dans le monde du travail : erreur fatale.
Donc, que vive les rockers devenus Crooners, et merci à Antoine de Caunes de nous offrir son humour et sa décontraction sur Crooner Radio, tout en saluant notre philosophie : “prendre le meilleur pour l’inscrire définitivement dans l’avenir ! ».
Antoine De Caunes n’a pas peur de faire VIEUX
Portrait d’Antoine De Caunes dans Crooner And Friends, artiste multitalent, animateur, comédien, auteur, metteur en scène et maintenant rédacteur pour le magazine VIEUX, désormais dans les kiosques
Animateur, acteur, réalisateur, écrivain… Antoine de Caunes incarne depuis plus de quatre décennies un esprit libre et impertinent dans le paysage culturel français. Né le 1ᵉʳ décembre 1953 à Paris, fils du journaliste Georges de Caunes et de la speakerine Jacqueline Joubert, il s’est imposé dès la fin des années 1970 avec des émissions musicales cultes comme Chorus ou Les Enfants du rock, avant de marquer l’histoire de Canal+ aux côtés de Philippe Gildas dans Nulle part ailleurs.
Complice de José Garcia, figure des César qu’il a présentés à dix reprises, il a mené en parallèle une carrière au cinéma, devant et derrière la caméra. Aujourd’hui, il continue de surprendre et de séduire, notamment avec son magazine « Vieux », qui aborde le temps qui passe avec humour, tendresse et franc-parler.
Mais pourquoi aimer Antoine de Caunes ? Un esprit, un tempérament, un charme et une indéniable Crooner attitude, même il, elle est teintée de Rock : de Bob Dylan à Bruce Springsteen, son idole, l’icône télévisuelle, le réalisateur, l’auteur est bien obligé de constater que derrière chaque rocker ou prince de la pop, il y a un Crooner en herbe qui se cache, pour soudainement sortir sa tête à ressort de la boite magique.
De Caunes, Antoine, à la Crooner attitude : toujours attirant à plus de 70 printemps, il trimbale avec joie et sans efforts, une éternelle cinquantaine : le rêve de tous les quinquas et quant à la gent féminine : merci d’arrêter de dire qu’Antoine est mignon, ça agace les maris légitimes.
Le plus extraordinaire, c’est qu’avec Antoine de Caunes, on peut plaisanter sur le mot “Vieux” car Decaunes à l’humour anglais et la faconde pour défendre ce nouveau magazine iconoclaste intitulé “Vieux” qui paraît trimestriellement avec succès depuis décembre 2024
et c’est bien là un de nos principaux points d’achoppement avec Antoine De Caunes : Il ne faut pas avoir peu de faire vieux et d’assumer son âge. Une occasion de rendre hommage également à ses parents : Georges de Caunes et Jacqueline Joubert, un couple iconoclaste qui aura connu les débuts de la télévision française.
Des Rhumatismes naissants, des problèmes de prostate : demandez donc à Mick Jagger, à Rod Stewart et toute la bande du Rock’N’Roll s’ils ont été exemptés ! Alors Plutôt en rire, en achetant le magazine plébiscité par Antoine de Caunes !
Et puis, rappeler le meilleur du passé, n’est-ce pas là, la véritable fonction du vieux et son expérience : mais quel est l’idiot qui a décidé un jour que les plus de cinquante ans ne valaient plus rien dans le monde du travail : erreur fatale.
Donc, que vive les rockers devenus Crooners, et merci à Antoine de Caunes de nous offrir son humour et sa décontraction sur Crooner Radio, tout en saluant notre philosophie : “prendre le meilleur pour l’inscrire définitivement dans l’avenir ! ».
