Brigitte Bardot, une artiste inoubliable, qui aimait la guitare, le jazz et les crooners
Brigitte Bardot aimait le jazz, les crooners, et la guitare, de Sacha Distel à Claude Bolling, ce sont les amis musiciens de “BB” qui lui l’ont poussée à chanter
Saluer le charisme mondial de Brigitte Bardot et l’ensemble de sa carrière cinématographique est une évidence démultipliée à l’infini depuis sa disparition le 28 décembre 2025 à Saint-Tropez à l’age de 91 ans et mieux vaut vous révéler dans cet article une passion moins connue de BB : la musique gitane, le jazz et les Crooners.
Depuis son installation dans le var, à “La Madrague”, une charmante propriété acquise en 1958 par l’actrice alors âgée de 24 ans, Brigitte Bardot fait la connaissance de la musique gitane, alors dominée par le guitariste mondialement connu Manitas de Plata et puis, dans les années 80 elle fait la connaissance d’une famille de gitans, la famille Reyes, qui va générer une musique beaucoup plus festive sous le nom de groupe les “Gipsy Kings”, à la carrière internationale que l’on connait.
Brigitte les faisait régulièrement venir pour les fêtes qu’elle organisait, alors qu’ils étaient encore inconnus et libres de chanter dans les camps, les bars et les fêtes privées. C’est ce style « guitaristique » qui a contribué à donner à “BB” cette passion pour la guitare (dont elle jouait pour s’accompagner) et qui remonte à sa liaison avec le crooner français et guitariste Sacha Distel, en 1958, à l’époque même où elle décide de s’installer, avec lui, à la Madrague.
Même si la liaison sera de courte durée (elle épouse quelques mois après l’acteur Jacques Charrier) cette romance avec le jazzman et crooner Sacha Distel renforcera son goût et sa passion pour la musique américaine populaire des années 40-50. Il faut dire que cinématographiquement, le jazz l’entoure : dans “Et Dieu créa la femme”, elle incarne une femme libre dans un Saint-Germain des prés très “jazzy” et de nombreux autres films sont rythmés par des musiques jazz.
Dans les années 60, Brigitte Bardot va enregistrer un certain nombre d’albums “jazzy” et enregistrer des émissions de variétés à la télévision sous la direction musicale du grand chef d’orchestre français Claude Bolling, également compositeur de musiques de films telles que le thème principal du film “Borsalino”. Claude Bolling et Brigitte Bardot s’entendent immédiatement et les prestations musicales vont s’enchainer : avec le charmant filet de voix et l’énergie de Brigitte, des paroles signées par des auteurs tels que Jean-Max Rivière et les excellents musiciens (jazzmen pour la plupart) de Claude Bolling.
Ce sont ces titres que nous vous proposons régulièrement à l’antenne, à l’image de “Everybody loves my baby” ou “Tu es le soleil de ma vie”. Brigitte Bardot guitariste, chanteuse, amoureuse du jazz, une autre facette de cette actrice mondiale au charme inoubliable, fierté de la France pour des décennies encore.
Brigitte Bardot, une artiste inoubliable, qui aimait la guitare, le jazz et les crooners
Brigitte Bardot aimait le jazz, les crooners, et la guitare, de Sacha Distel à Claude Bolling, ce sont les amis musiciens de “BB” qui lui l’ont poussée à chanter
Saluer le charisme mondial de Brigitte Bardot et l’ensemble de sa carrière cinématographique est une évidence démultipliée à l’infini depuis sa disparition le 28 décembre 2025 à Saint-Tropez à l’age de 91 ans et mieux vaut vous révéler dans cet article une passion moins connue de BB : la musique gitane, le jazz et les Crooners.
Depuis son installation dans le var, à “La Madrague”, une charmante propriété acquise en 1958 par l’actrice alors âgée de 24 ans, Brigitte Bardot fait la connaissance de la musique gitane, alors dominée par le guitariste mondialement connu Manitas de Plata et puis, dans les années 80 elle fait la connaissance d’une famille de gitans, la famille Reyes, qui va générer une musique beaucoup plus festive sous le nom de groupe les “Gipsy Kings”, à la carrière internationale que l’on connait.
Brigitte les faisait régulièrement venir pour les fêtes qu’elle organisait, alors qu’ils étaient encore inconnus et libres de chanter dans les camps, les bars et les fêtes privées. C’est ce style « guitaristique » qui a contribué à donner à “BB” cette passion pour la guitare (dont elle jouait pour s’accompagner) et qui remonte à sa liaison avec le crooner français et guitariste Sacha Distel, en 1958, à l’époque même où elle décide de s’installer, avec lui, à la Madrague.
Même si la liaison sera de courte durée (elle épouse quelques mois après l’acteur Jacques Charrier) cette romance avec le jazzman et crooner Sacha Distel renforcera son goût et sa passion pour la musique américaine populaire des années 40-50. Il faut dire que cinématographiquement, le jazz l’entoure : dans “Et Dieu créa la femme”, elle incarne une femme libre dans un Saint-Germain des prés très “jazzy” et de nombreux autres films sont rythmés par des musiques jazz.
Dans les années 60, Brigitte Bardot va enregistrer un certain nombre d’albums “jazzy” et enregistrer des émissions de variétés à la télévision sous la direction musicale du grand chef d’orchestre français Claude Bolling, également compositeur de musiques de films telles que le thème principal du film “Borsalino”. Claude Bolling et Brigitte Bardot s’entendent immédiatement et les prestations musicales vont s’enchainer : avec le charmant filet de voix et l’énergie de Brigitte, des paroles signées par des auteurs tels que Jean-Max Rivière et les excellents musiciens (jazzmen pour la plupart) de Claude Bolling.
Ce sont ces titres que nous vous proposons régulièrement à l’antenne, à l’image de “Everybody loves my baby” ou “Tu es le soleil de ma vie”. Brigitte Bardot guitariste, chanteuse, amoureuse du jazz, une autre facette de cette actrice mondiale au charme inoubliable, fierté de la France pour des décennies encore.
